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Entreprise

Client mauvais payeur : Top 6 des conseils pour les faire réagir dans le temps

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C’est une réalité embarrassante en affaire. Pourtant les clients mauvais payeurs, il y en aura toujours. Les impayés ayant tendance à s’accumuler ont malheureusement de l’impact sur la trésorerie de l’entreprise. C’est pourquoi il faut savoir agir. Voici des astuces pouvant aider vis-à-vis de ces clients dans ce cas.

Solliciter un acompte

Cette habitude s’apparente davantage à une prudence qu’à un moyen pour faire plier les mauvais payeurs. C’est pourtant une pratique courante qui évite bien des soucis. L’idée ici n’est pas de les obliger à payer l’intégralité de la somme pour un produit ou un service rendu. Cela peut ne pas être toujours possible. L’objectif est d’inciter le client à payer une partie de l’argent s’il souhaite profiter de votre offre.

Relancer sans faire pression sur le client

Cette démarche à l’amiable constitue la première étape à entreprendre pour relancer les mauvais payeurs. Il faut passer à l’action lorsque ceux-ci rechignent à payer dans la limite des CGV fixée par la société. Pour entrer rapidement en contact avec le client, le téléphone constitue la voie plus rapide. Sinon, le mail et le courrier peuvent s’avérer efficaces pour une relance avec courtoisie. Notez qu’il est inutile d’employer les gros moyens face à un client débiteur dès le début. Son impossibilité à payer dans le temps peut s’expliquer par différents motifs.

Passer par un tiers pour relancer le client

Cette option constitue plutôt une alternative à une relance directe. Elle présente l’avantage de pouvoir se rapprocher du débiteur sans que celui-ci ait l’impression d’être pressé. Il existe d’ailleurs des sociétés spécialisées qui font dans la relance. Solliciter l’aide de ce genre de société peut aussi vous éviter des litiges avec le client concerné.

Mettre en place un système d’amendes en cas de paiement tardif

D’abord, on doit éviter de penser que la mise en place de pénalité de retard peut écorcher l’image de l’entreprise. Certes, il s’agit d’une sorte de sanction appliquée sur une créance impayée. Cependant, ces pénalités ont pour but d’inciter le client à s’acquitter de ses dettes à temps. Elles sont dues de plein droit dès le début du jour de dépassement du délai pour le paiement. Cette exigence s’applique à un créancier de catégorie professionnelle.

Concevoir une lettre de mise en demeure

Egalement appelée « lettre d’avocat », la mise en demeure somme les mauvais payeurs à agir au plus vite. Elle explique de manière formelle et précise au client que vous exigez le paiement de la dette. Acte juridique, cette lettre constitue le dernier recours avant de porter l’affaire devant la justice. Et si la personne ne paie pas à l’intérieur du délai précisée dans la mise en demeure, les intérêts vont commencer à s’accumuler.

Porter l’affaire devant la justice

Il s’agit d’un ultime recours face à un client qui fait la sourde oreille malgré les impayés. On ne parle plus donc d’intervention en douceur puisqu’il n’y aura plus de négociation possible. L’aide d’un huissier sera précieux pour bien constituer les dossiers. Pour la suite, la mise en place d’une injonction à payer est courante avec cette démarche. Ce courrier à l’intention du débiteur lui indique un délai à respecter soit pour le paiement, soit pour faire appel.

Voilà passées en revues quelques astuces pour faire plier un débiteur récalcitrant. Certaines de ces méthodes seront utilisées non pas pour les presser mais pour les inciter à payer. Néanmoins, il faut garder à l’esprit qu’il vaut mieux faire tout son possible pour obtenir un paiement plutôt que de renoncer définitivement à celui-ci.

 

 

 

 

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